Le blog de Véronique

Des Livres et des Rêves

Maxime Fériel, le fils de l’Olympe

Le soir du solstice d’été, Maxime Fériel, un adolescent passionné de musique, voit sa vie bouleversée. Lors d’une répétition, ses nouveaux amis, Alex et la séduisante Estelle, l’entraînent, malgré lui, à Olympie.

Alors qu’un monde fascinant se dévoile peu à peu, le garçon se retrouve plongé dans un passé, dont il ignore tout. Quel mystère entoure sa naissance pour que les puissants dieux de l’Olympe aient voulu sa mort ? Pourquoi ont-ils besoin de lui pour vaincre Scrios, le Démon Destructeur, jadis à l’origine de la guerre de Troie ? Apprendre à contrôler sa magie, combattre les monstres, jeter des sortilèges : Maxime se révèle, chaque jour, un sorcier plus puissant. Cela sera-t-il suffisant pour vaincre ses ennemis et sauver ceux qu’il aime ?

Avec « Maxime Fériel, le fils de l’Olympe », Véronique Théry, professeur de Lettres Classiques, signe un premier roman, qui ravira tous les fans de mythologie et de fantastique !

Pour les lecteurs de 10 à 110 ans !

Vous voulez en savoir un peu plus sur les personnages  ?

5 secrets sur le roman : 

Secret 1 : Un peu d’étymologie pour commencer :

Estelle Travis – Alexandre Travis : au début du roman, on apprend que Maxime vient juste de les rencontrer. Que nous apprennent leurs noms ? Travis, en vieux français, signifie  « Le Passeur ».  Or, le frère et la sœur peuvent traverser sans problème pour rejoindre Olympie ou la Terre : ce sont des Odysséens. Estelle, l’étoile en latin, fait briller le cœur de notre héros ! Quant à son jumeau, il porte bien son prénom : issu du grec ancien : « alexein : protéger – andros : homme/guerrier » : il sera un allié essentiel contre les nombreux ennemis de Maxime. Alexandre préfère toutefois le diminutif Alex.

Secret 2 : Découvrons Aïresos, le grand chien blanc ! 

Partons de cette esquisse qui aurait pu, si l’auteur l’avait choisie,

devenir la 1ère de couverture :

 

Au premier plan, Maxime et Aïresos. Ce nom d’origine grecque, signifie « le choix ». Pourquoi ? Lisez cet extrait qui évoque leur première rencontre :

« Le géant se leva et entrouvrit sa porte. Ils virent un animal efflanqué se faufiler à l’intérieur. Vu l’état lamentable dans lequel il se trouvait, il était difficile de reconnaître un chien : squelettique, le corps recroquevillé comme s’il avait été battu à mort, couvert de boue et de ronces qui collaient à une multitude de plaies.

– Par tous les dieux, où est-il encore allé se fourrer ? tonna Cernunnos. Maudit sac à puces !

– La pauvre bête est mal en point, s’apitoya Bully. Tiens, petit, mange ce beau gigot.

L’animal l’ignora.

– Je te l’ai dit. Il ne mange jamais. A mon avis, il n’en a plus pour très longtemps… Mais, que fait-il ?

Le chien venait d’apercevoir Maxime et, sous leurs yeux stupéfaits, il se redressa et se dirigea vers lui en remuant la queue en tous sens.

– Par mes cornes, on dirait qu’il te reconnaît ! Eh, non, mais regardez !

Maxime n’en revenait pas. Dès que l’animal était entré dans la chaumière, il avait senti son cœur s’emballer et une étrange énergie l’habiter. La dernière fois qu’il avait ressenti cela, c’était lorsqu’il avait joué de la lyre. Aussi étrange que cela puisse paraître, lui aussi le reconnaissait. C’était comme s’il retrouvait un vieil ami perdu. Il caressa le chien, qui gémissait, éperdu de bonheur.

– C’est incroyable ! répétaient Bully et Cernunnos.

Incroyable, en effet, était la métamorphose qui s’opérait devant eux. Une étrange clarté semblait irradier de Maxime et envelopper l’animal. En quelques minutes, la bête squelettique, blessée et sale se transforma en un chien immense, magnifique, à la robe aussi blanche que la neige la plus pure. »

Vous l’avez compris ! C’est Aïresos qui choisit Maxime !

L’auteur avait une idée précise d’Aïresos. Elle l’imaginait ainsi comme sur cette image.

Elle n’a pas voulu la montrer à Hélène V, son illustratrice pour ne pas l’influencer. Et pourtant, regardez la 4ème de couverture ! C’est comme si elle avait pu lire dans l’imaginaire de l’auteur !  Absolument bluffant !

Site web d’Hélène V.

Secret 3  : les monstres mythiques

Vous l’avez lu dans le résumé : Maxime va se retrouver dans le monde d’Olympie, en plein univers mythologique.

Voici quatre « monstres » qui se trouvent dans le roman : Cerbère, la Chimère, le Démon Mashusha,  le Minotaure. Mais, il y en a beaucoup d’autres ! 

Amis ou ennemis du héros ? Il faudra lire le roman pour le savoir !

Secret 4 : le titre du roman

Observez les deux essais sur la graphie du titre : Vous voyez la différence ???

 

L’auteur avait demandé à son illustratrice deux essais : l’un avec une lyre, l’autre avec la tête de Méduse.

En effet, vous l’avez lu dans le résumé : Maxime adore la musique. Allez un scoop ! Il joue de la guitare dans un groupe. Mais, ce qui est plus étonnant, c’est qu’il va être capable de jouer de la lyre. Pas n’importe laquelle ! Celle du dieu A………. On va tout de suite voir qui s’y connaît en mythologie. Quel rapport entre ce dieu et Maxime ? Quel rôle essentiel va jouer cet instrument ? Vous le découvrirez en lisant « Maxime Fériel, le fils de l’Olympe ». 

Sur le 2ème dessin, on aperçoit la tête de la redoutable Gorgone Méduse, capable de pétrifier celui qui pose les yeux sur lui. Un monstre cruel ? Vous êtes certain(e) ? Vous devriez lire le roman avant de vous montrer aussi sûr(e) de vous !

Secret 5 : le prologue du roman !

« La lune rougeoyante éclairait à peine le chemin en pente qui menait au temple d’Apollon. Et, seul le regard d’un sorcier aurait été capable d’y repérer la fine silhouette d’une femme qui s’y hâtait.  Ou celui d’un dieu de l’Olympe. Or, c’était bien l’un d’eux qui scrutait les ténèbres et surveillait la progression de la fugitive apeurée. Elle se retournait souvent, craignant de voir surgir les Prêtres qui la traquaient, elle et son précieux fardeau qu’elle pressait contre son sein. Quand elle atteignit, le cœur battant, l’entrée du sanctuaire, elle s’accorda quelques instants de répit afin de reprendre son souffle. Elle en profita pour écarter le linge qui dissimulait celui qu’elle chérissait plus qu’elle-même.

– Ne t’inquiète pas, Maxime ! Je ne les laisserai pas te prendre !

Sa voix douce et chantante ne tremblait pas, malgré la peur qui lui nouait les entrailles depuis qu’elle avait entendu la prophétie de Cassandre : « Les dieux veulent la mort de ton fils ! Ils te le prendront à l’aube de sa septième aurore et ils le jetteront dans le Tartare !  ». Les maudits ! Comment ces Immortels auxquels elle avait voué sa vie entière pouvaient-ils oser vouloir lui prendre son enfant pour le plonger dans la partie la plus odieuse des Enfers, celle qu’on réservait aux assassins les plus abjects ? Jamais elle ne les laisserait faire, dût-elle en mourir !

Un bruit derrière elle la fit se retourner. Elle sortit le poignard sacrificiel qu’elle n’avait jamais utilisé pour ôter la vie à un humain. Elle se savait prête désormais à tuer ses semblables pour protéger son fils. Et, si un dieu surgissait, ses pouvoirs de prêtresse lui permettraient de se battre jusqu’à son dernier souffle.

– Tu n’auras pas à me combattre, Éléa !

La voix musicale apaisa aussitôt la jeune femme. Il avait tenu sa promesse !

– Ainsi, tu doutais de moi !

Il avait pris une apparence humaine comme pour chacune de ses apparitions, mais son visage ne reflétait aucune colère. Il lui souriait avec bienveillance et elle le laissa se pencher pour contempler son enfant.

– Ainsi, c’est donc lui qui effraie tant mes Frères et Sœurs divins ! Comment ce petit être pourrait-il un jour tous nous détruire ?

Comme si le nourrisson l’avait entendu, il se réveilla et se mit à pleurer.

– Es-tu certaine, Prêtresse, de vouloir renoncer à ta vie?

– Je renoncerai à tout pour lui !

– Qu’il en soit fait ainsi !

Il lui fit signe de le suivre et ils se dirigèrent vers un rocher dont la forme ressemblait à un serpent. La prêtresse s’y adossa et le dieu leva les mains dans sa direction. Aussitôt, une musique s’éleva, si belle que même l’enfant cessa de pleurer pour l’écouter. Partout, aux alentours, le silence se fit. Les grillons oublièrent de grésiller et les oiseaux nocturnes se posèrent sur les branches les plus proches. Les arbres eux-mêmes se penchèrent vers la mélodie et les animaux sauvages qui chassaient laissèrent s’enfuir leurs proies. Une lumière dorée était apparue et elle encerclait Éléa et son fils, les berçant tous deux. Et soudain, ils disparurent. La musique cessa et la nuit dangereuse reprit ses droits. Rien n’avait changé et pourtant, rien ne serait plus jamais comme avant… »

Vous le voyez avec ces quelques secrets. Dans ce roman, il y a plus qu’un récit fantastique.  C’est une plongée en pleine mythologie. Une mythologie revisitée. Un univers fascinant, dans lequel il faut se méfier des apparences !

Retrouvez la prêtresse Cassandre, la reine Clytemnestre et les héros légendaires : ils vous révéleront leurs secrets !


Premiers retours de lecteurs : 

— « Coup de cœur : C’est ainsi que j’ai fait une incursion dans le monde du rêve et de l’imaginaire au travers de ce livre jeunesse porté sur le thème de la mythologie et de la magie et j’ai vraiment adoré. Je dois dire que cela fait un bien fou de plonger dans cet univers fantastique et très original !
En effet, mêler réel et mythologie est une idée folle mais cela fonctionne à merveille et donne un petit côté Harry Potter qui enchantera petits et plus grands. » 
— « Je ne lis pas de roman fantastique habituellement, et je me suis facilement laissé emmener par l’histoire de Maxime Fériel. J’ai vraiment bien aimé le mélange de monde réel et de mythologie. C’est un roman original et bien rythmé, que je recommande. » 
— « c’est un livre addictif. Le personnage est attachant, les rencontres et les liens qu’il crée avec ses amis sont touchants et faits de rebondissements. Le livre est vraiment très bien écrit, du début à la fin, avec de très belles descriptions de scènes de combat ! »
— « Que dire? Que j’ai adoré. C’est un roman très bien écrit, avec des héros attachants et des personnages variés. J’ai suivi les aventures du jeune Maxime dans le monde « Olympie » sans m’ennuyer. Beaucoup de rythme et de l’humour. Je conseille aux jeunes lecteurs qui veulent se plonger dans un monde mythologique (et pas besoin d’avoir fait latin ou grec au collège pour comprendre le monde crée par l’auteur). Mention spéciale aux combats finaux… Je ne dirais pas plus ! Bref je recommande très fortement. »
—-  » On voit bien que l’auteur est une spécialiste des us et coutumes des peuples antiques et particulièrement de leur mythologie. Les descriptions de batailles sont détaillées et tiennent le lecteur en haleine.
Le style est exigeant mais fluide et l’histoire originale et pleine de rebondissements. » 
— — « Lorsqu’on feuillette les dernières pages de son livre « Maxime Fériel, le fils de l’Olympe », on se sent frustré car le rêve s achève ,et l’on voudrait bien avoir encore une centaine de pages à lire. N attendez pas pour faire connaissance de Maxime Fériel » 
Beaucoup d’autres avis sur le site !
Et vous pouvez même y lire la préface ! Alors, n’attendez plus ! Et partez vous aussi à Olympie ! 

Il ne vous reste plus qu’à cliquer ici si vous souhaitez vous plonger dans le roman !

Article de la VOIX DU NORD :